J'aimais mieux quand c'était toi

Roman.
Toujours pas d'enthousiasme...
Bof...
Je comprends mieux le titre, incompréhensible à la lecture du livre, ou alors juste au dernier paragraphe seulement : c'est le titre d'une chanson de Souchon, sur l'amour-passion, écrite en 2005...
Ici, déception. Quant à l'écriture, quant à l'histoire, quant aux personnages...
Je pense que je vais me tenir à distance de Véronique Olmi, que du reste, je ne me souviens pas d'avoir déjà lu, ce n'est pas bon signe...
L'histoire : elle est comédienne professionnelle. Elle joue une pièce de Pirandello. A deux enfants. Un amoureux, bof. Et puis un soir qu'elle joue, il est là. Paul. Un amour-coup de foudre qu'elle a dû quitter parce qu'ils ne pouvaient pas vivre ensemble ; abdication, mais non-oubli, le coeur n'oublie pas, malgré... Bref, ce soir-là, il est là. Elle est tétanisée.
Là, flou (pourquoi est-il question de 6 mois de coma qui nous perdent ? Alors que vraisemblablement non, il se passe une nuit de flottement pour elle ?) ; ils se retrouvent et parlent, et.
C'est tout, je dirais.
Restée sur ma faim...
. J'aimais mieux quand c'était toi, Véronique Olmi, 2015.