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"Je ne pleurais pourtant point alors, et je n'en étais pas mieux. Je reccueillais de quoi pleurer ; mon âme s'instruisait de tout ce qui pouvait l'affliger, elle se mettait au fait de ses malheurs ; et ce n'est pas là l'heure des larmes : on n'en verse qu'après que la tristesse est prise, et presque jamais pendant qu'on la prend".
MARIVAUX
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