... 360
"Tout ce qu'on oublie de sa propre vie, un secret instinct l'avait en fait depuis longtemps condamné à l'oubli". Stefan ZWEIG
Balade d'une dévoreuse de livres
"Tout ce qu'on oublie de sa propre vie, un secret instinct l'avait en fait depuis longtemps condamné à l'oubli". Stefan ZWEIG
"Vis. Nous sommes nombreux à avoir besoin qu'on nous rappelle ce que ça veut dire ; ce n'est pas essayer de rivaliser avec son voisin, ni se caser à tout prix dans une catégorie quelconque, ni remplir une liste d'aptitudes imaginaires. Et ça n'a rien...
"Pourquoi buvons-nous du café ? Enfants, nous détestons ça. C'est plus tard que nous apprenons à accepter l'amertume de son goût, et même a en avoir envie. A quel moment cela se passe-t-il ? Je pense que c'est au moment où nous comprenons que peut-être,...
"De quoi sommes-nous fait ? Les uns si tendres, les autres si durs, attelés dans l'existence, quoique mal assortis, dépendant les uns des autres pour le meilleur et pour le pire... Quelle tâche herculéenne pour surmonter la colère, vaincre nos démons...
"C'est ainsi par le sentiment de culpabilité que l'on brutalise, que l'on terrorise, que l'on soumet définitivement l'autre ; lequel, sans révolte renonce à être. Comment briser le cercle infernal dès lors que les forces se sont spontanément si inégalement...
"Bénis sont ceux-là dont le sang et le jugement ont été si bien combinés qu'ils ne sont pas des pipeaux faits pour les doigts de la fortune et prêts à chanter par le trou qui lui plaît". William SHAKESPEARE
"Je déteste l'open space. Je m'y sens comme dans une vaste prison, sans murs ni barreaux mais totalement transparente. Je m'y sens épiée, surveillée, contrôlée". Irène COHEN-JANCA
"J'aime ma vie parce qu'elle est conforme à ce que je suis profondément et que je ne me vois pas dans le costume d'un autre". Frédérique DEGHELT
"Le deuil est un pays qui s'explore à petits pas. On ne peut vaincre le destin en l'ignorant, en le mettant à distance. On ne meurt pas des coups durs, on meurt quand on oublie qu'ils existent et qu'ils vous frôlent à chaque instant". Frédérique DEGH...
"Où se trouve l'endroit où ne plus pleurer, où ne plus penser à ce qui m'étouffe ? Je hais ma soumission à la peine". Frédérique DEGHELT